dimanche 4 septembre 2011

Au Diable vauvert

Genres littéraires édités:
Jeunesse, romans, nouvelles, essais/documents, récits, pamphlets, autobiographies, musique, bande dessinée, arts graphiques, thrillers, science-fiction, fantasy et pop culture.

Tirages moyens:
...

Nouveaux auteurs édités par an:
...

Textes particulièrement recherchés:
...

Adresse postale pour les manuscrits:
Au Diable Vauvert
La Laune
30600 Vauvert

Délais moyens de réponse à un envoi de manuscrit:
Entre 5 et 6 mois (NDMA: dans mon cas, moins de 3 mois, fin 2011 mais il semblerait qu'ils ne prennent plus de manuscrits pour 2012).

Commentaire éventuel de l'éditeur:
...

Site Internet:

Adresse mail:
contact@audiable.com

mercredi 31 août 2011

Les éditeurs qui publient du théâtre

Les éditeurs en gras sont ceux qui ont répondu à ma sollicitation ou qui m'ont spontanément envoyé les informations demandées. Ceux qui ont en plus un astérisque à côté de leurs noms sont ceux qui m'ont répondu dès ma première sollicitation. Il me semble normal de les mettre en avant, d'autant que j'interprète cela comme un gage de disponibilité et d'ouverture (peut-être ont-ils aussi une boîte mail qui n'a pas envoyé mon mail directement dans la rubrique "spams").
Si vous avez des informations supplémentaires, des corrections à apporter par rapport à l'un de ces éditeurs, n'hésitez pas à m'en faire part en laissant un commentaire sur leur fiche. De même, si vous avez un éditeur à me suggérer, signalez-le moi.

Important: si l'un des éditeurs ci-dessous vous a proposé un contrat à compte d'auteur, laissez un commentaire sur sa fiche. Si j'en ai confirmation, je le déplacerai dans la catégorie adéquate.


  • Les plus importants
  • Les éditeurs moyennement importants
  • Les moins connus
- Eclats d'encre *
- Acoria
- Avant Scène théâtre
- Bérénice
- Campiche
- Cerisier
- Chèvre feuille étoilée
- Des Femmes
- Hamy
- Inventaire
- Kirographaires *
- Ours blanc
- Chloé des lys
- Le Texte vivant *
- Impressions nouvelles
- iPagination *

Si vous souhaitez faire apparaître votre maison d'édition, vous pouvez remplir en ligne ce formulaire.

dimanche 28 août 2011

Quelle est la place de la poésie dans le monde littéraire actuel?

Je ne sais pas s'il n'y a jamais eu autant de poètes qu'aujourd'hui. Pourtant, quand on se balade dans une librairie, il faut énormément de chance et d'attention pour en trouver un recueil contemporain. Pourquoi? Parce que la poésie, depuis plusieurs dizaines d'années, ne se vend pratiquement plus du tout.
C'est un constat qui peut être douloureux mais c'est ainsi. Songer à vivre de sa plume est un doux rêve très, très difficilement réalisable. Espérer gagner des milliers et même des centaines d'euros en écrivant de la poésie relève du délire ou d'une totale désinformation.

Pour être tout-à-fait honnête, j'ignore comment les choses se passaient à l'époque de Baudelaire, mais je sais que ce dernier n'a pas fait fortune avec Les Fleurs du Mal, loin de là. Depuis, c'est la chanson, bénéficiant de la diffusion massive par la radio puis par la télévision qui remplace les odes, sonnets et autres rondeaux, relégués dans les blogs, forums, certaines revues littéraires, magazines (où on peut se faire publier, mais pas rémunérer) et quelques éditeurs qui peinent à survivre.
Il est donc tout-à-fait possible, avec un certain talent et les bonnes adresses, de voir ses textes publiés et même édités. Il est également possible qu'on vous considère comme un grand poète et qu'on parle encore de vous dans deux siècles. C'est un peu plus réaliste que de penser gagner de l'argent avec ses vers ou sa prose mais... il y aura peut-être un élu pour 10 000 poètes.

Alors, à moins d'écrire dans une autre langue (la situation anglophone est souvent très différente mais je ne la connais pas assez pour en parler) ou d'être un génie capable par sa puissance créatrice d'inverser la tendance, il vaut mieux se contenter d'écrire des poèmes pour son plaisir personnel, pour draguer (par expérience, je suis très sceptique quant à l'efficacité de ce procédé la plupart du temps plus ridicule qu'émouvant), pour se faire pardonner un écart par sa dulcinée (là, par contre, ça marche plutôt pas mal), pour rendre hommage à sa maman ou à son papa ou simplement pour passer le temps.

Vous trouverez, à cette adresse, une confirmation, plus fouillée, plus développée et sans doute mieux exprimée de mon propos.

Payer pour être "édité"? Le compte d'auteur.

"Les éditions Portenawak recherchent de nouveaux talents".
Que ce soit sur Internet ou même dans les magazines, leurs publicités sont omniprésentes et très tentantes pour le nouvel auteur encore mal informé. Surfant sur la difficulté de décrocher un contrat d'édition, de trouver les adresses d'éditeurs susceptibles de vous faire signer chez eux, sur la naïveté et sur l'ego des auteurs, ce genre de prestataires de services vit très convenablement depuis plusieurs années. Jouant sur l'ambiguïté, la terminologie et de savantes caresses, ils vous donneront l'impression d'être de véritables éditeurs à succès, appliquant les pratiques normales du milieu et ayant eu un coup de coeur pour votre texte qu'ils promettent à un brillant avenir. Seulement voilà: pour que votre futur best seller soit publié, il vous faudra débourser entre 500 et plusieurs milliers d'euros...

Ce que tout écrivain doit graver dans sa tête est simple: si quelqu'un vous demande de l'argent pour publier votre texte, c'est qu'il ne croit pas une seule seconde à ses chances de succès commercial, ou qu'il s'en fout royalement, quoi qu'il puisse prétendre! 
Si quelqu'un vous demande de l'argent, ça veut simplement dire qu'il vous demande d'assumer les risques à sa place. Quoi qu'il arrive par la suite, il sera toujours gagnant, contrairement à vous: si le bouquin se vend, c'est le jackpot (mais ça n'arrive jamais) et s'il ne se vend pas, vous lui avez déjà fourni son pactole. Quant à vous, s'il ne se vend pas, vous aurez perdu quelques centaines ou milliers d'euros en plus de votre bouquin et en cas de miracle, vous serez à peine remboursé de votre investissement.

Il y a donc certains détails qui en découlent et qu'il est nécessaire de bien comprendre:
- A partir du moment où vous avez payé, le prestataire n'a strictement plus aucun intérêt à faire quelque effort pour votre bouquin. Il fera ce qui est indiqué sur le contrat à minima et de mauvaise grâce, quand ils respectent le contrat, ce qui n'est pas du tout systématique. Il ne faudra pas compter sur eux pour la promotion et la diffusion. Ce sera à vous de vous débrouiller.
- Le prestataire se moque totalement que votre livre soit bourré de fautes, écrit en sanskrit ou qu'il soit en lice pour le concours du plus mauvais roman du siècle. Du moment que vous le payez, la seule chose qui peut éventuellement l'intéresser est de savoir si votre livre n'est pas un remake de Mein Kampf ou le Guide Michelin de la pédophilie parce que dans ce cas ça risque de lui valoir un procès. Sinon, dans tous les autres cas, il vous dira toujours que votre livre est bon, génial, qu'il est persuadé qu'il va bien se vendre etc. Alors qu'en réalité il est probable qu'il ne l'ait pas lu ou qu'il pense le contraire.
- En conséquence, les professionnels et notamment les libraires vont automatiquement penser, en voyant le logo de votre prestataire apposé sur votre précieux bouquin, qu'il est mauvais et invendable. Vous serez donc reçu comme un pestiféré et les véritables éditeurs vont vous rire au nez s'ils apprennent que vous avez signé un contrat à compte d'auteur.

Cela revient donc, pour résumer, à vous ruiner, à saborder votre chef-d'oeuvre et à vous décrédibiliser totalement dans le milieu pour vous retrouver avec des cartons de centaines de bouquin, chez vous, dont vous ne pourrez vous débarrasser qu'en les bradant voire en les donnant.

Pourtant, malgré ces quelques évidences qu'un esprit logique pourra lui-même aisément déduire, des centaines de personnes, peut-être même des milliers, se suicident ainsi (littérairement et financièrement) pour permettre à ces prestataires de service de continuer à exister.

Comment peut-on les reconnaître?

1. En jetant un oeil sur cette page.
2. Si vous ne le trouvez pas dans la liste, méfiez-vous de la publicité: les gros éditeurs n'ont pas besoin de pub pour attirer des manuscrits et les petits n'ont pas les moyens.
3. En France, rares encore sont les éditeurs qui acceptent qu'on leur envoie des manuscrits par mail, en revanche, nombreux sont les prestataires adeptes du compte d'auteur qui préfèrent ce moyen rapide qui leur permet de passer avant la concurrence.
4. Ils donnent une réponse au bout d'une quinzaine de jours. Soit ils reçoivent très peu de manuscrits, soit ils ont une armée de lecteurs chevronnés, mais plus probablement, ils vous ont lu en diagonale et ne sont pas de véritables éditeurs.
5. Leur réponse est positive et enthousiaste. Ils restent très évasifs quant à votre texte mais ils vous caressent manifestement dans le sens du poil et flattent votre ego. C'est le moment de leur demander s'ils ont l'intention de vous proposer un contrat à compte d'éditeur. S'ils sont si sûrs que ça de votre talent et de la qualité de votre livre, ils n'hésiteront pas à investir et à risquer leur argent. Dans le cas contraire, ça sent le mensonge.
6. Il est indiqué autre chose que "contrat d'édition" sur le contrat qu'ils vous envoient. Là, il n'y a plus de doute à avoir: vous n'avez pas frappé à la porte d'un véritable éditeur.
7. Ils vous demandent une contrepartie financière. L'heure n'est plus à la méfiance, elle est à me contacter pour que j'ajoute le nom de ce prestataire à ma liste.

mercredi 24 août 2011

Les Hésitations d'une mouche

Ils ne peuvent rien faire comme tout le monde, alors ils m'ont fait parvenir bien plus d'informations que je n'avais demandé. Je n'en attendais pas moins d'eux.

 En quelle année a été créée l'association L'écrit de la mouche et dans quel but ?
Tout d'abord, il ne faut pas confondre l'association et la revue, même si toutes deux sont intimement liées. Cette dernière (Les hésitations d'une mouche) est née en juin 1997. Pour des raisons économiques, juridiques, logistiques, bref pour qu'il n'y ait pas de ... hic, l'association (L'écrit de la Mouche) a été créée officiellement le 15 janvier 2000. Elle sert de base arrière à la revue d'un point de vue comptable et décide des orientations à suivre, impulsées par ses membres actifs.

Quelles actions mène actuellement votre association ? Qui sont vos partenaires ?
Encore une fois, l'obligation première et prioritaire de l'association consiste à publier tous les trimestres, et ce, depuis 14 ans, la revue littéraire. Ce qui occupe une bonne partie du temps. Pour le reste, nous n'avons pas de partenaires attitrés. Par déontologie, l'association a décidé de se passer de subventions, de deniers publics, de partenariats privés, de mécénat, se débrouillant seule et n'ayant de compte à rendre à personne, si ce n'est à ses adhérents.

Comment vous est venue l'idée de créer la revue Les hésitations d'une mouche ? Pourquoi avoir choisi ce titre ?
L'idée s'apparentait à l'époque à une véritable utopie qui aujourd'hui encore, finalement, perdure dans nos esprits, preuve que l'on peut vieillir sans renier son idéal de départ. À l'origine nous avions constaté combien de nombreux textes de gens qui écrivaient par passion, dormaient, selon le cliché éculé, dans des tiroirs. L'idée nous est donc venue de leur offrir une vitrine. Tout simplement. Quant au titre, on le doit à Françoise Sagan dans Bonjour Tristesse. Cherchez bien, vous y trouverez cette association de mot pour laquelle nous avons, comme on dit en langage djeun, flashé.

Comment faites-vous votre communication mis à part les nombreux salons auxquels vous participez et votre référencement sur le site de l'ARPEL ?
On n'a jamais rien inventé de mieux depuis la nuit des temps que le bouche-à-oreille. Outre qui facilite le rapprochement entre genre humain, il a le mérite de travailler durablement et de s'instiller dans un coin de l'esprit. Sinon, époque moderne oblige, nous avons un site Internet, incontournable de nos jours.

Faites-vous du dépôt ?
Du dépôt vente ou du dépôt légal ? L'un mais pas l'autre assurément. On préfère accompagner la Mouche physiquement, dans la mesure du possible. Bien que d'un âge raisonné, elle mérite encore et toujours, l'attention et l'affection de ses parents.

Comment vous-êtes vous fait connaître à l'étranger ? Quelles sont les répercussions ?
Dire que l'on s'est fait connaître à l'étranger paraît présomptueux. La Mouche a voyagé, certes, en Afrique, sur les deux continents américains, un peu partout en Europe francophone, mais essentiellement parce que les auteurs publiés étaient natifs de ces contrées. Pour le reste, vous avez le don de poser, finalement, plusieurs questions dans une, mais concernant les répercussions, à ce jour, pour être bref, on dira aucune. Simple précision puisque vous n'aviez pas songé à cet aspect là : l'association se ruine en frais d'expéditions dès lors qu'il nous faut franchir nos belles frontières. En un mot comme en cent, une revue expédiée à l'étranger nous coûte assurément plus qu'elle nous rapporte, même si nous n'en faisons pas une question d'argent.

En lisant votre revue, il nous a semblé qu'il y avait une tendance fantastique dans les textes choisis ainsi qu'un certain engagement politique. Malgré votre volonté de donner une chance à tous, avez-vous une ligne éditoriale ? Comment choisissez-vous les textes qui seront publiés et les artistes qui illustrent la couverture de la revue ?
Aucune tendance ni engagement politique (apportez-nous les preuves). Après chacun y voit ce qu'il a envie de voir, interprète à sa manière, analyse, dissèque, absorbe, ingurgite, digère, tous les mots qui s'étalent avec fracas dans nos pages. Pas de ligne éditoriale, mais une ligne jaune à ne pas franchir sur quelques aspects qui nous sont chers, la tolérance par exemple, la liberté d'expression n'étant pas synonyme d'un grand n'importe quoi qui s'affranchit des règles de bienséance. Tout le monde a sa chance, quelque soit son âge, sa raison sociale, sa fortune, l'auteur étant jugé sur ces écrits qui passent de main en main au sein d'un classique comité de lecture qui, par la suite, fait la synthèse des avis, favorables ou non. Idem pour les illustrations.

En publiant les textes, élaborez-vous un ordre de préférence, de coups de cœur comme par exemple sur la quatrième de couverture ?
Absolument pas. La quatrième de couverture est réservée, par nécessité à des textes d'une certaine longueur. Mais on peut y voir, effectivement, un privilège, que d'être ainsi exposé. Pour le contenu des 32 pages, celui-ci répond à une savante alchimie, entre textes longs et courts, avec des sujets que l'on espère variés afin de ne pas sombrer dans le désespoir ou le béat contentement au long d'un même numéro. Il s'agit là de l'exercice le plus périlleux. Le succès de la revue en dépend. Il nous faut donc sélectionner et mettre en musique avec une certaine unité l'ensemble des textes.

Suivez-vous certains auteurs et artistes ?
Oui. Nous nourrissons parfois des relations épistolaires ou autres, tant avec les auteurs que les lecteurs. Généralement, la démarche doit venir de l'intéressé, car par manque de temps essentiellement, on ne peut pas se permettre d'effectuer un sondage auprès de tous, ni les relancer pour savoir s'ils ont bien reçu la revue, une fois qu'ils ont été publiés, car parfois, revers de la médaille oblige, on n'entend plus parler de ceux que l'on nomme des « mercenaires » (on les repère vite cependant), pour qui la publication ne sert qu'à alimenter un CV et parader ainsi, auprès de qui d'ailleurs, on ne sait pas trop. Globalement, en un esprit de fraternité avéré, nous aimons tous nos auteurs, nous en sommes toujours très fiers, prêts à les soutenir si nécessaire.

Faites-vous parfois vous-même appel à des auteurs et des artistes ?
Franchement non, nous n'en voyons pas l'intérêt. Pas de passe-droit au motif que la personne est connue et / ou reconnue, cela n'entre pas dans notre philosophie, d'autant que la liste d'attente pour être publiée enfle énormément. En ce moment, ça bouchonne sérieux comme dirait Bison Futé !

Certains se sont-ils fait connaître et/ou publier grâce à vous ?
Oui nécessairement. Ce sont là nos petits bonheurs personnels et une reconnaissance du travail accompli. Si nous adorons travailler dans l'ombre, que certains aient pu avoir accès à la lumière, nous ravit franchement.

Les auteurs s'engagent à ne pas réclamer de droits d'auteur, mais y a-t-il une alternative pour la protection de leurs textes ou illustrations ?
Rien n'empêche un auteur, et c'est souvent le cas, de s'entourer de précaution avant toute publication. L'arsenal législatif existe même s'il n'est pas à la portée de toutes les bourses. De notre côté, nous sommes clairs en annonçant clairement la couleur à travers notre règlement.

En ce qui concerne la mise en page, est-ce volontaire de rester sobre ? Est-ce une façon de donner effectivement une chance à chaque auteur en ne faisant aucune distinction particulière entre les textes ? Est-ce tout simplement dû à un manque de moyens ?
La fin justifie les moyens, c'est bien connu. Nous restons sobres parce que l'univers des lettres n'est pas forcément olé-olé et nous non plus d'ailleurs. Notre longévité crédibilise notre manière de faire, de penser, d'agir, ne serait-ce qu'à notre modeste niveau, parce qu'effectivement nous ne roulons pas sur l'or, même si encore une fois, l'argent n'est pas notre moteur. Sous notre capot, l'envie et la passion guident notre rythme de croisière et la vitesse de pointe.

Enfin, souhaitez-vous développer et diversifier votre revue ? Quelles sont vos ambitions futures ou éventuelles ?
Ouf, voici la fin de l'interrogatoire ! Pouvez-vous nous rendre nos effets personnels, nos lacets, nos portables ... Notre seul credo : continuer à exister. Chaque jour on s'en donne les moyens, afin de sans cesse progresser, de toujours s'améliorer, se bonifier et tendre vers l'excellence. C'est notre manière de témoigner. Croyez-moi, la Mouche n'a pas dit son dernier mot.


Propos d’Éric Latouche recueillis par Camille Gianfrotta et Delphine Radenne, publiés sur le blog de la filière Métiers du livre http://littexpress.over-blog.net

Sans hésitations, faites nous parvenir vos écrits* :
CHARTE

1. *Les textes devront être impérativement dactylographiés, en deux exemplaires sur papier (format 21 x 29,7) adressés a la rédaction (14 rue des Sagittaires, 33440 Ambarès). Indiquez votre adresse de courriel si vous en possédez une.
2. Si votre texte est retenu, nous vous contactons afin que vous nous l'expédiez par courriel au format Word, RTF ou sur CDR, afin de l'insérer dans la revue.
3. NB: Les nouvelles ne doivent pas dépasser 4 pages (recto) maximum, en police Times New Roman, taille 12, interlignage simple. bien entendu, les nouvelles de pagination inférieure sont acceptées aussi.
4. Les dessins, peintures et photos ne sont acceptés que sur CDR, leur poids étant trop important pour l'expédition par mail. Bien entendu, vous pouvez aussi nous faire parvenir les originaux par envois postaux.

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